* Voir les photos du spectacle * Voir un article de presse relatif au spectacle DNA juillet 1994 - Lorelei, dans le paysage de Pourtalès, Maïa Bouteiller Hebdoscope juin 1994 - irena Tatiboit ou le jeu du corps, Marie Dufaud DNA juin 1994 - La Lorelei danse au parc de Pourtalès * Retour à la liste des programmes |
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du 1er au 10 juillet 1994, en plein-air, 22h « la chute est ce qu’il y a de plus vivant dans la sensation, ce qui dans la sensation s’éprouve comme vivante… » Deleuze Parc de Pourtalès, Strasbourg Chorégraphie, scénographie, costumes irena Tatiboit Assistante à la scénographie Laëtitia Bonnaudet Installation de sculptures en métal Maurice Frantzen Musiques D. Chostacovitch, Z. Preinser, H. Dennefeld Régisseur général, lumières Dominique Klein Administration Christiane Mehani Relations publiques Chantal Bolenor Régisseur son Harry Ralarosy Photos Klara Beck, Dorota Nijander Production Compagnie de Danse irena Tatiboit, Le Carré d’Art, avec le concours de la Ville de Strasbourg, DRAC, Conseil Régional, Conseil Général du Bas Rhin, ACTA |
Lorelei,
nom et personnage nous apparaissent pour la première fois
dans la ballade de Brentano paru dans « Godwi » de
1802. Venu du nom d’un rocher près de St. Goar sur
le Rhin « Lorelei ». Lorelei est une magicienne dont la nature même n’est que séduction et enchantement. D’autres sources nous disent que Lorelei est une ondine, une nixe (divinité germanique des eaux). Assise en haut d’un rocher surplombant le Rhin, elle coiffe ses magnifiques cheveux d’or. Son chant envoûtant, amplifié par un puissant écho, entraîne les marins et leurs bateaux au fond des flots. Dans les deux versions, Lorelei représente la malédiction de l’amour par enchantement. La puissance de sa voix est tellement grande, qu’elle est capable de ravir le diable en personne. Le malin avait l’intention de renverser le rocher de Lorelei. Le thème de Lorelei a inspiré de nombreux poètes : R. Brentano, H. Heine, F. Delacroix, J. Lorrain, G. Apollinaire. L’absurde et le sublime pour la grandeur dérisoire de l’amour. Une interprétation possible de la légende de la Lorelei ; dérision plutôt que sa vision romantique. Après « Jardin Hypnotique » en 1993, irena Tatiboit crée son deuxième spectacle de danse en plein air dans la série qu’elle appelle : « La danse le paysage ». Dans le spectacle qu’elle propose cette année elle met en relation le travail en extérieur avec le monde des signes dont jusqu’à aujourd’hui les lieux culturels restent les dépositaires dans notre société. L’amour – la danse – un besoin. /irena/ L’amour c’est une « force » donc il y une direction, la vie, un sens, le bonheur et une intensité, toi ! /Esther/ Il te prends, ouvre toi, et goûte l’éternité. /Fabienne/ L’amour…où ça ? Suivez mon regard ! /Sonia/ C’est le désordre des sens sans dessus dessous ; c’est la raison qui s’en va faire un tour. /Axelle/ Continuelle vague de la vitalité incessante perle d’aurore ? L’amour ne peut s’oublier. /Xavier/ Qu’importe, pourvu qu’on ait l’ivresse. /Sébastien/ L’amour c’est un jeu d’enfants. /José-Luis/ Une larme amère dans un cœur en paix. /Laïtitia/ Danseurs Laëtitia Bonnaudet - Sonia Mankai - Fabienne Pignard-Marthaud - José-Louis Linares - Axelle Maury Esther Marcano - Sébastien Bagnon - Xavier Schimmel - Sadok Ben Chaabane |
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Remerciements Jean-Claude Hurstel Norbert Engel Jorge Lopes da Fonseca Noëlle Schltz Françis Muckensturm Jean Simon Jean Laurent Vonau Pierre Blondé Luc Jambois Bernard Haemmerlin et la Société Haemmerlin SA Caffé Sati, Etam prêt-à-porté, Société Alsace-Croisière |
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